Vidéos
Vidéos du projet
- Première vidéo du projet : L’aut’bord du mur il y a… L’Intégrale
- Deuxième vidéo du projet : L’aut’bord du mur, il y a …
- Troisième vidéo du projet : Stefan Pocovnicu : de la révolution roumaine jusqu’à Maisonneuve
Description : Stefan Pocovnicu a participé à la révolution qui a démis le dernier dictateur de type soviétique de Roumanie en décembre 1989. Très vite, il a été déçu de la tournure prise par la post-révolution. Et il est parti. C’est le livre «Papillon» de Henri Charrière qui lui a donné le courage de faire le grand saut.
- Quatrième vidéo du projet : Gabriela Ghizzi da Silva : la richesse du personnel de Maisonneuve
Description : Derrière chaque être humain il y a une histoire digne d’intérêt. Dans cette vidéo, nous partons à la rencontre de Gabriela Ghizzi da Silva. Gabriela est chercheuse à l’ITEGA, un CCTT affilié au Collège de Maisonneuve, dont les laboratoires sont situés au campus du 6220... Et pour les gens qui travaillent au campus principal du 3800 rue Sherbrooke Est, le campus du 6220 rue Sherbrooke Est, c’est vraiment l’aut’bord du mur!
Autres vidéos en lien avec le sujet
- How to spot fake news : Considérez ces points avant de partager un article sur Facebook. Cela pourrait être faux.
- I forgot my phone, Réalisé par Miles Crawford; scénarisé par Charlene de Guzman. Rôle principal : Charlene de Guzman; 2013.
I Forgot My Phone from Miles Crawford on Vimeo.
- Tout, tout, tout, vous saurez tout sur le complot. Source : Data Gueule.
- De fausses informations ont abondamment circulé sur Internet. Source: Radio-Canada.
- Le piège des fausses nouvelles. Source : Télé-Québec.
- La dictature des images retouchées. Sources: Télé-Québec
Description: Segment exposant les diverses interventions technologiques menées sur les images que nous voyons partout dans les médias. Ces manipulations servent diverses stratégies marchandes, ambitions propagandistes ou idéologiques pour exercer une forme de contrôle sur le spectateur. Les diverses pressions sur l’image corporelle exercées par l’industrie de la mode et la société du spectacle sont à la source d’une mécanique de culpabilisation des individus qui ne cadrent pas avec ces standards martelés par la publicité et les médias de masse. Un mouvement prend forme : celui de réclamer des images au naturel, sans retouches informatiques.